Jacques Brel - Knokke-Le-Zoute tango /1977
Albumm:Les Marquises/1977
Versuri:
Les soirs ou je suis Argentin
Je m´offre quelques Argentines
Quitte a cueillir dans les vitrines
Des jolis quartiers d´Amsterdam
Des lianes qui auraient ce teint de femme
Qu´exportent vos cites latines
Ces soirs-la je les veux felines
Avec un rien de brillantine
Collee au "ceveu" de la langue
Elles seraient fraiches comme des mangues
Et compenseraient leur maladresse
A coups de poitrine et de fesses
Mais ce soir
Y a pas d´Argentines
Y a pas d´espoir
Y a pas d´doute
Non ce soir
Il pleut sur Knokke-le-Zoute
Ce soir comme tous les soirs
Je me rentre chez moi
Le cceur en deroute
Et la bite sous l´bras
Les soirs ou je suis Espagnol
Petites fesses, grande bagnole
Elles passent toutes a la casserole
Quitte a pourchasser dans Hambourg
Des Carmencitas de faubourg
Qui nous reviennent de verole
Je me les veux fraiches et joyeuses
Bonnes travailleuses sans parlotes
Mi-Andalouses, mi-anguleuses
De ces femelles qu´on gestapote
Parce qu´elles ne savent pas encore
Que Franco est tout a fait mort
Mais ce soir
Y a pas d´Espagnoles
Y a pas de casseroles
Y a pas d´doute
Non ce soir
Il pleut sur Knokke-le-Zoute
Ce soir comme tous les soirs
Je me rentre chez moi
Le cceur en deroute
Et la bite sous l´bras
Les soirs ou je suis Caracas
Je Panama, je Partagas
Je suis l´plus beau
Je pars en chasse
Je glisse de palace en palace
Pour y denicher le gros lot
Qui n´attend que mon coup de grace
Je la veux folle comme un travelo
Decouverte de vieux rideaux
Mais cependant t-evanescente
Elle m´attendrait depuis toujours
Cerclee de serpents et de plantes
Parmi les livres de Dutourd
Mais ce soir
Y a pas de Caracas
Y a pas de t-evanescentes
Y a pas d´doute
Mais ce soir
Il pleut sur Knokke-le-Zoute
Ce soir comme tous les soirs
Je me rentre chez moi
Le cceur en deroute
Et la bite sous l´bras
Demain oui
Peut etre que...
Peut etre que demain je serai Argentin... oui
Je m´offrirai des Argentines
Quitte a cueillir dans les vitrines
Des jolis quartiers d´Amsterdam
Des lianes qui auraient ce teint de femme
Qu´exportent vos cites latines
Demain je les voudrai felines
Avec ce rien de brillantine
Collee aux cheveux de la langue
Elles seront fraiches comme des mangues
Et compenseront leur maladresse
A coups de poitrine et de fesses
Demain je serai Espagnol
Petites fesses, grande bagnole
Elles passeront toutes a la casserole
Quitte a pourchasser dans Hambourg
Des Carmencitas de faubourg
Qui nous reviendront de verole
Je les voudrai fraiches et joyeuses
Bonnes travailleuses, sans parlotte
Mi-Andalouses, mi-anguleuses
De ces femelles qu´on gestapote
Parce qu´elles ne savent pas encore
Que Franco est tout a fait mort
Les soirs depuis Caracas
Je Panama, je Partagas
Je suis l´plus beau
Je pars en chasse
Je glisse de palace en palace
Pour y denicher le gros lot
Qui n´attend que mon coup de grace
Je la veux folle comme un travelo
Decouverte de vieux rideaux
Mais cependant t-evanescente
Elle m´attendrait depuis toujours
Cerclee de serpents et de plantes
Parmi les livres de Dutourd